Groupe d’élite de la gendarmerie nationale, fondé en 1974, le GIGN intervient dans la gestion de crises extrêmes, comme des situations de prise d’otage, de terrorisme, de lutte contre le grand banditisme. De l’entrainement très complet aussi bien physique que mental aux interventions comme celle de Dammartin en Goëlle en janvier 2015.
GIGN
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Interview de Thierry PRUNGNAUD, ex-gendarme GIGN, grièvement blessé au bras lors de l'assaut de son unité à Marignane en 1994, qui vit aujourd'hui dans un petit village des Charentes. Il a passé 18 ans au GIGN à parcourir la France et parfois la planète. Le 26 décembre 1994 à Marignane un commando islamiste retenait 171 personnes en otage à bord d'un Airbus. Thierry commente les images de l'intervention du GIGN devant son récepteur et parle de son intervention. Il a été gravement blessé et a cru sa dernière heure arrivée.
Reportage réalisé à l'occasion des 20 ans d'existence du GIGN, Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale, créé en mars 1974 par le préfet Christian Prouteau alors lieutenant de gendarmerie. Cette unité d'élite dirigée actuellement par le capitaine Denis Favier, compte 87 gendarmes tireurs d'élite formés aux sports de combat, à l'escalade, au parachutisme et à la plongée, mobilisables 24 heures sur 24, 365 jours par an. Reportage au camp militaire de Satory (Yvelines) où l'on assiste à divers entraînements. Le capitaine Denis FAVIER explique que les seules qualités physiques ne suffisent pas pour intégrer l'unité, il faut également une souplesse d'adaptation, une ouverture d'esprit et surtout savoir gérer son mental : "il est important pour nous que quelqu'un connaisse ses limites et sache après gérer son stress, gérer ses émotions pour pouvoir dépasser ses limites". Le rôle de la cagoule est évoqué dans le commentaire. Un membre du GIGN parle de sa satisfaction de faire partie de ce corps d'élite : pour lui l'aura du GIGN est méritée. - Au cours d'un exercice, des gendarmes du GIGN en tenue de mission font irruption dans une pièce et tirent au pistolet sur des cibles représentant des preneurs d'otages / ITW gendarme cagoulé et casqué sur les conditions de cette séance d'entrainement - DP hommes du GIGN en tenue de mission de couleur noire, cagoulés et armés / PE descente d'un hélicoptère le long d'une corde - ITW capitaine Eric GERARD sur les qualités requises pour faire partie du GIGN : "souplesse d'adaptation" et "ouverture d'esprit - - GP PR gendarmes cagoulés - ITW gendarme cagoulé sur l'"aura" du GIGN - retrospective de quelques interventions du GIGN - février 76 : libération d'enfants retenus en otage dans un car scolaire près de JDIBOUTI, PR Christian PROUTEAU - novembre 79 : libération de la mosquée de la Mecque lors d'une insurrection sanglante (images de mauvaise qualité) - novembre 87 : reddition de mutins qui avaient incendié la prison de Saint Maur (Indre) - février 88 : arrestation de Philippe BIDART, chef du mvt indépendantiste basque Iparretarak, au Boucau (Pyrénées Atlantiques) - mai 88 : assaut de la grotte d'Ouvéa en Nouvelle Calédonie - à la caserne de Satory : entrainement des hommes du GIGN au tir au pistolet - ITW Eric GERARD : "Il faut avoir une maitrise totale de l'arme" - exercice d'escalade d'une façade d'immeuble - ITW cap. Denis FAVIER : "Quand on arrive en opération (..) il y a une exigence" - ITW gendarme du GIGN : "(..) Je ne me prends pas pour un supergendarme" unité sur le départ pour une mission.
Retour sur l'assaut donné par les unités du GIGN vers 16H57 ce jour dans une imprimerie de Dammartin-en-Goële (Seine-et-Marne). Les deux preneurs d'otages, les frères KOUACHI, ont été tués par les gendarmes, alors que le seul otage, resté caché sous des cartons toute la journée, a été évacué sain et sauf.
Les membres du GIGN, Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale, doivent être capables d'identifier n'importe quelle arme. Leur commandant, Christian Prouteau, présente un révolver qu'un agent reconnait au premier coup d'oeil. Il présente ensuite le pistolet-mitrailleur Sterling.
Présentation du GIGN, Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale, que l'on découvre pendant l'entrainement. Le commandant Christian Prouteau explique dans quelles circonstances sont utilisées les armes en cas de prise d'otages.