De la corvée d’eau, à la veillée au coin du feu, en passant par le bal du samedi soir, ou encore le labourage à l’aide de chevaux, ici quelques coutumes et pratiques qui semblent aujourd’hui disparues.
Coutumes et pratiques disparues
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Présentation du nouveau télégramme illustré à l'occasion des fêtes. Une hôtesse à un bureau de poste explique les conditions d'utilisation et les tarifs à un client.
Dans la forêt landaise où les risques d'incendie sont particulièrement fréquents, des tours de guet ont été érigées. Alors qu'un incendie vient de se déclarer, au village, l'alarme est donnée. Le tocsin sonne et les hommes sont appelés à son de trompes pour se rassembler devant la mairie.
En Ile et Vilaine, c'est la fin des bateaux-lavoirs et un vieux métier disparaît, les lavandières. Rencontre avec deux d'entre elles. Malgré la difficulté du travail, elles aiment leur métier et sont inquiètes pour leur avenir.
Un vieux couple de paysans évoque le battage du blé au fléau, le dépiquage, qu'ils comparent à une musique et à la polka. "Un bon dépiqueur était un bon danseur" souligne la vieille paysanne. Puis son mari rejoint un groupe de paysans en train de battre le blé.
Interview d'une jeune femme, Nicole, qui va danser tous les soirs au bal musette depuis 10 ans. Personne ne peut l'interdire d'aller danser car c'est une passion. "Je préfère être privée de dîner que de ne pas pouvoir aller au bal" souligne-t-elle.
Georgette évoque son enfance. Dès l'âge de dix ans, elle a exercé avec son père le métier de roulier. Ils transportaient des marchandises dans des charrettes, en marchant à côté des chevaux. Elle se rappelle les longues tournées harassantes pour distribuer le vin dans les villages.
Discussion entre deux agriculteurs normands : l'un est réfractaire à la vie moderne et au progrès et préfère cultiver sa terre en utilisant sa charrue tirée par ses chevaux, le second essaie de le convaincre que le tracteur est mieux et plus rentable.
Depuis plus d'un an, en province et à Paris, le téléphone dans la rue prend un nouvel essor, avec une nouveauté : les abris téléphone aménagés à l'intérieur de certains arrêts d'autobus. Quant aux cabines publiques, elles seront déployées en plus grand nombre dans les grands ensembles. Réactions d'usagers et de monsieur DARMON, ministère des PTT, sur la mise en place de cartes magnétiques pour limiter le vandalisme.