Interviewé sur son dernier livre "L'Art de raconter", Dominique Fernandez évoque Gustave Aimard, l'auteur qui lui a donné l'envie d'écrire : "...moi mon premier roman que j'ai écrit à 11 ans, qui s'appelait "Oeil de feu", c'était sous l'influence d'Aimard".
Interviewé, l'écrivain Dominique Fernandez parle du baroque napolitain : "Vous savez le baroque c'est une façon de vivre pour les Napolitains, ils n'ont pas conscience d'être baroques, c'est leur être (...) ils ont le bonheur immédiat, l'être au monde immédiat et c'est ça qui est baroque...".
Interviewé à propos de son homosexualité, l'écrivain Dominique Fernandez dit la difficulté qu'il a éprouvée à en parler : "ça a été très difficile, j'ai mis vingt ans à rompre le silence...".
Interviewé, l'écrivain Dominique Fernandez parle de son livre, le "Dictionnaire amoureux de la Russie". Il revient sur le rapprochement qu'il effectue dans cet ouvrage entre l'Italie et la Russie, puis évoque une des entrées du livre, le roman russe "Oblomov", d'Ivan Gontcharov.
L'écrivain Dominique FERNANDEZ a remporté le prix Goncourt pour son livre "La Main de l'ange". Interviewé, il dit évoque l'écrivain et réalisateur Pier Paolo Pasolini, personnage principal de sa biographie imaginaire, dont il dit : "Pier Paolo, enfin le personnage que j'en fais était homosexuel, mais c'était d'une façon plus générale un rebelle, quelqu'un en marge de la société, comme le sont tous le héros de romans, je crois...".
Interviewé, l'écrivain Dominique FERNANDEZ revient sur la fascinantion qu'il éprouve pour l'écrivain italien Cesare Pavese. Il dit l'aimer depuis vingt ans et conseille aux lecteurs d'entrer dans l'oeuvre de Pavese par son journal : "Je crois quand même que la clé de Pavese c'est son journal, Pavese est plus un auteur intimiste...".
Interviewé sur l'écriture de son livre "Dans la main de l'ange", l'écrivain Dominique FERNANDEZ explique qu'il s'agit d'une biographie fictive de Pier Paolo Pasolini.
Interviewé, l'écrivain Dominique Fernandez parle de son livre "Porporino ou les mystères de Naples" et dit : "Il s'agit d'un roman qui se passe à Naples au XVIIIème siècle, parce que c'est l'époque où j'aurais voulu vivre moi...comme c'est pas possible en réalité, je l'ai vécu en imagination...".
Grand connaisseur de l'Italie, l'écrivain Dominique Fernandez, invité pour parler de son livre "Mère Méditerranée", tente de casser quelques idées reçues admises sur l'Italie du sud. Il revient sur qu'il estime être le principal cliché, la gaieté : "...cette fameuse gaieté de l'Italie qui est entièrement fausse...Naples par exemple est une ville triste, d'une tristesse qui est d'ailleurs fascinante...".